Lettre pour Vincent Lindon

Lettre ouverte de Henri INOUDJAL à Vincent Lindon
“Itinéraire d'un peuple trahi”

vendredi 19 juin 2020,

Bonjour Vincent Lindon,

J'ai écrit un texte intitulé "Itinéraire d'un peuple trahi", adressé à chaque député de la commission d'enquête parlementaire sur le COVID19, ainsi qu'aux groupes politiques du Sénat. Je l'ai mis en ligne, le 17 juin, sur change.org, pour pétition. Il apparaît, sous ce titre, en cliquant sur le symbole (cercle avec un trait). J'ai cru comprendre que vous n'étiez pas insensible aux aspects de la réalité, quelque peu incompréhensibles et néfastes pour la France. J'ai besoin d'un coup de pouce pour cette pétition. Peut-être, accepteriez-vous, de la signer et de la promouvoir sur votre réseau. Je vous joins ce texte et vous remercie de ce que vous ferez. Bien à vous. Henri INOUDJAL


Le 16/06/2020

Itinéraire d’un peuple trahi. Implications pour l’avenir.

France, a-t-on cherché à faire peur à ton peuple, et dès la première heure, en comptant les morts du COVID19 et en exposant leur nombre, dans un rituel macabre, savamment médiatisé.
Pour qui, pourquoi, les médias dominants, ont-ils diffusé une information répétitive et orientée, de telle manière qu’un choc et une sidération, ont été, les seules issues possibles, pour ton peuple, tant aimé par ton Âme souveraine.

Parlent-ils, ces médias, à longueur de journée, de sujets, dont la réalité défie l’entendement et, ferait rougir de honte, tout humain qui ne connaîtrait pas la terre et la visiterait pour la première fois. Combien de morts, chaque jour, de par le monde, parce que la faim tenaille leurs entrailles.
Combien de morts, chaque jour, de par le monde, parce que la pollution, la guerre, les crimes odieux, l’absence de soins, la santé confisquée sévissent, au grand jour, mais masquées par le silence assourdissant, de ceux qui savent.
Combien de morts, chaque jour, par la soumission à un ordre établi qui dirige nos vies, dès notre naissance.

France, pourquoi mettre en lumière, projeter le phare médiatique sur le COVID19 et «taire» le crime contre l’humanité, pourtant permanent et combien plus meurtrier encore.
France, saches que nous ne voulons pas de leur vaccin, de leur philanthropie et de leur humanisme calculateur. En temps ordinaire, un vaccin est impossible à réaliser, en quelques mois. Et pourtant, à prix coûtant, du moins pour la première année, et sans compter le «vaccinoton» qui a permis, à des milliards d’euros d’être transférés d’une poche à une autre, ils se hâtent de le concevoir, de le tester (phase 3 et 4) afin de le produire, avant noël, comme un cadeau, sans doute inestimable.

France, ils signent des accords, des pré-commandes, semble-t-il, en secret ou discrètement, afin que ton peuple soit protégé mais sans qu’il puisse avoir son mot à dire. Le secret est levé lorsque la signature les engage, de manière, difficilement réversible.
France, tu devrais être admirative devant une telle volonté de venir en aide à ton peuple, volonté qui devient interrogative lorsqu’elle est comparée aux actions précédentes, contraires, foncièrement, à cet esprit. Tu devrais être admirative devant une telle abnégation, une telle diligence de la science médico-pharmaceutique qui s’associe à la sphère politique dans un élan de générosité sans arrière-pensées.

France, tu demeures impassible, car l’Esprit, qui préside à ta réalité symbolique, t’interdit toute action sur le réel. France, je te le dis, ils nous prennent pour ce que nous ne sommes pas, des incultes, des moins que rien, des dominés qui doivent obéir et dont la seule valeur est, marchande. Consommez, consommez et enrichissez-les. France, je te le dis, c’est un programme qui s’exécute, sous nos yeux incrédules. C’est tellement gros et défiant les lois du bon sens, que toute personne sensée ne peut y croire. Et pourtant, elle tourne disait Galilée. Aujourd’hui, il pourrait dire qu’elle ne tourne pas rond, cette terre.
France, nous les pensions impréparés, inaptes, incompétents. France, ils sont, en réalité, redoutables. Ils ont, minutieusement, préparé le terrain afin que s’accomplisse ce funeste destin.
France, que deviendras-tu si l’avènement de la vérité n’advient pas. France, pourras-tu te reconstruire sur des mensonges et une manipulation de ton peuple.
France, pourras-tu te satisfaire, sans rien dire, de paroles qui masquent une réalité inavouable.
France, pourras-tu oublier, la façon dont tes enfants sont morts, alors que la patrie n’était pas en danger.
France, pourras-tu oublier, que ceux qui te représentent, sont les artisans de cette hécatombe.

France, pourras-tu oublier qu’ils ont failli à leurs obligations et qu’ils ont décidé de sacrifier des vies, pour sauver les apparences et pouvoir dire que le système de santé «a tenu».
France, pourras-tu oublier les décrets autorisant le Rivotril, dans une indication inhabituelle et précipitant les décès. Pourras-tu oublier l’instauration d’un âge limite, au-delà duquel tout soin hospitalier est devenu impossible.
France, pourras-tu oublier, qu’un ordre des médecins, en temps «de guerre», interdise des traitements efficaces, au motif qu’ils ne sont pas validés scientifiquement.
France, nous t’aimons, mais, que c’est dur, d’appartenir à une telle société.

France, peux-tu, raisonnablement, faire confiance à des gouvernants qui ont agi de la sorte et, ont laissé mourir tes «anciens» dans l’abandon le plus total.
France, es-tu aveugle, pour ne pas voir, qu’aucun gouvernant, digne de ce nom, ne met son pays à terre, sans, de bonnes raisons de le faire. Sauver des vies est une raison valable à l’échelle d’un écosystème réduit mais ne peut plus être soutenue à l’échelle d’une nation lorsque, en définitive, les personnes fragiles n’ont pas été protégées et que, les conséquences, à venir, sur tous les plans sont monstrueuses et pires qu’une atteinte virale, généralement et statistiquement bien supportée. Ce prétexte, inattaquable, sur le plan humain est pourtant l’arbre qui cache la forêt à savoir un autre projet.

France, tu le sais, dans ton territoire, 150 000 personnes meurent, chaque année, du cancer, alors que l’on connaît de nombreux facteurs de risque et qu’il suffirait de confiner la cigarette pour sauver de nombreuses vies. France, tu le sais, 150 000 personnes meurent, chaque année, de maladies cardio-vasculaires alors que l’on connaît de nombreux facteurs de risque et qu’il suffirait de confiner la mal-bouffe lipidique, les graisses trans, l’huile chauffée, les contenants transparents et préconiser, avec insistance et conviction, les huiles bio de première pression à froid ainsi que l’exercice physique régulier pour sauver de nombreuses vies.

France, à l’évidence, notre véritable santé, n’est pas leur problème. Ils agiraient, différemment, dans le cas contraire. La maladie est, pour certains, une manne financière prodigieuse dont ils ne veulent pas se priver. Leur conception de la santé est, l’accompagnement de la maladie, le plus longtemps possible, afin de gagner beaucoup d’argent, sur le dos, de malheureux qui croient à leurs compétences. Ils sont compétents mais pas en matière de santé. Sinon, nous n’aurions pas une telle réalité sanitaire.

France, je ne connais pas ce projet, mais je vois poindre un vaccin, alors que 11 sont, déjà obligatoires, et des conditions de travail, rappelant un autre temps. Je vois poindre des limitations de l’expression de soi et un recours à des prolongements de la loi d’urgence qui court-circuitent le contrôle parlementaire, déjà malmené, par une majorité qui confond dialogues féconds et constructifs avec le reste de l’assemblée et l’imposition aveugle de la loi du plus fort, en nombre.

France, pour ce projet, ils n’ont pas hésité, à confisquer nos libertés, à créer les conditions de l’hécatombe, à générer la peur et la soumission, sous peine de sanctions, à imposer des directives, qu’eux-mêmes, n’appliquaient pas, sauf, pour satisfaire à la manipulation, par l’image, de l’opinion.

France, en ces temps où la Mémoire de l’Histoire, devient inviolable et, en conséquence, inaltérable, nous soumettons, à ton arbitrage, la réalité des faits vécus par ton peuple. Nous savons que Toi, France, gardera, dans cette Mémoire, la vérité toute nue, des agissements de ces gestionnaires d’une pandémie, peut-être provoquée, ou favorisée, ou non anticipée. Nous savons que Toi, France, n’effacera aucune trace de leurs actions. Nous savons que Toi, France, te rappellera du manque de masques, de tests, de matériels de toute sorte, de la franchise la plus élémentaire… Tu te souviendras parce que ta Mémoire n’est pas soumise à l’amnésie ni aux arrangements humains avec la réalité et les circonstances.

Le manquement au principe de précaution et à l’assistance à personnes, véritablement, en danger, est si grand , que la Postérité, retiendra, qu’en 2020, il fut possible de s’extraire de ses prérogatives gouvernementales en arguant, implicitement, de l’imprévisibilité virale, l’imprévoyance consécutive et l’absence d’équipements pour expliquer la gestion calamiteuse et le confinement. La déroute est circonstancielle, diraient, peut-être, certains.

Le gouvernement, même assisté d’un haut comité scientifique, haut par la valeur sociale accordée mais sans réelle efficacité, n’a pas pu empêcher près de 30 000 morts et favoriser une résolution de la problématique COVID19, autrement que par l’extinction naturelle du virus. Ce comité, englué dans des luttes intestines avec le professeur RAOULT et toute forme d’innovation thérapeutique, a montré tant de faiblesses et de conflits d’intérêts. Ceux-là expliquent-ils celles-là.
N’oublions pas, que d’autres médecins reconnus ont, également, soutenu, une stratégie thérapeutique pragmatique. Citons, le docteur PERRONNE, qui entonne, avec son dernier livre, un chant partisan qui détonne et étonne un public, outrancièrement abusé par les pouvoirs publics. Que les Justes soient remerciés pour leur courage et que les labo-compatibles soient déchu de toute responsabilité publique engageant l’avenir du peuple français.
Le COVID19 est devenu un symbole de la distorsion entre pouvoir médical stricto-sensu et pouvoir financier qui utilise la maladie à des fins d’enrichissement. Il doit, pour ce faire, contrôler les prescriptions et s’immiscer dans les rouages scientifiques et institutionnels. La santé apparente est la couverture mais l’objectif foncier est le contrôle des mentalités à des fins, essentiellement, pécuniaires.

France, le dégoût m’envahit, qu’ils démissionnent s’ils ne peuvent, agir autrement, et partent au loin, afin que nos regards ne se croisent plus et que cette mémoire douloureuse ne se réveille point, tant il est difficile d’accepter l’inacceptable.

France, françaises et français de bonne volonté, changeons l’avenir en gardant le cap sur la devise républicaine Liberté, Egalité et Fraternité.

France, accepterais-tu une sixième République dont la valeur Vérité constituerait un ajout à la trinité constitutionnelle, d’aujourd’hui.
France, tu le sais, le monde de demain, doit devenir différent dans ses fondements. Les Hommes doivent respecter les Lois de la Vie et la Conscience, devenir, la seule boussole, qui les guide.

France, que ces erreurs soient le signe de la fin de ce monde et le déclenchement d’une renaissance, dans un nouvel univers, dont l’explosion initiale serait silencieuse car soutenue par une Conscience planétaire humanisée.

France, la République doit se renouveler et le Parlement est la clef de voûte de toute volonté de revoir le fonctionnement institutionnel, dans un sens conforme à l’évolution des consciences et à l’amélioration des rapports entre pouvoir et peuple. Qu’à cette fin, les parlementaires s’unissent et fondent le renouveau démocratique qui permette au peuple, de participer, à nouveau, à la vie politique, sans avoir l’impression d’être manipulé et que son intérêt particulier, en réalité, soit la dernière roue du carrosse, c’est à dire, la roue de secours, utile, seulement, en période électorale.

France, les parlementaires doivent parlementer et obtenir du pouvoir un changement radical des pratiques afin que l’énergie s’unifie pour une œuvre commune et que cessent les dissensions néfastes à ce pays et à sa population.
Que le Parle-ment parle et ne mente plus, par défaillance institutionnalisée où la minorité est, de facto, une population dont la parole est ignorée.

Henri INOUDJAL

Auteur: Henri INOUDJAL

Lettre pour Vincent Lindon. Lettre 184.

Aucun commentaire sur cette lettre à Vincent Lindon


HTML autorisé: <b> <i> <a> :-) ;-) :-( :-| :-o :-S 8-) :-x :-/ :-p XD :D



Célébrités > V > Vincent Lindon > Lettre 184 > écrire