Lettre pour Edgar Morin

Lettre ouverte de Bernard Issa Péran à Edgar Morin
“Prise de contact sans beaucoup de tact diplomatique”

samedi 10 juillet 2021,

Bonjour Edgar Morin,
un vibrant des langages décomposés et résonnant de singulières sonores IT a croisé hier ta route journal YS T. HIC
folie assumée de la perception onirique que j'ai reçue de L'AUTHOR IT de SON ÉNERGIE
"ça" que les doctes cloisonnent sous le vocable "d'inconscient', hihihi, m'a inspiré une Nième chronique que je soumets, LIBRE MAN, à ta sagacité, et "à ta cure-y-ose IT"
mon français n'est pas académique. normal, je suis breton, fiché là, et mis en fiches de lectures, par LE SUJET DU RÊVE, cet INCONNU, moteur de l'invisible ÉNERGIE, qui porte les êtres, se donnant à VOIR aux enfants de COEUR, et aux femelles d'ESPRIT, dont IL OUVRE la fente épistémique, tant verrouillée par les ceintures de chasteté "intellect tue ELLE".
enfin, vois SI ma chronique, histoire de te chiffonner un peu le corps sage, le corsage de ton habillage conceptuel.

chronique légère et Lourde(s) de PUITS SENS, où Edgar Morin et James CO BURN viennent faire un petit tour de piste...

Bonjour,

Ouais, Edgar Morin en tête,
Arrivé là dans sa velléité de « vulgarisation scientifique », hihihi,
Et son article journal YS T. HIC, …

Puis James Coburn en queue
De ma chronique,
Ce dernier amené là
Par une intrusion inattendue en ma messagerie,
Par le truchement d’un ÂMI(E),
S’interrogeant encore sur LA FA SON
Dont LE FEU s’approche de lui,
Dont il s’approche DU BURN ING MAN,
QUEUE, JE SUIS. Hihihi.

Ça est léger,
Ça est lourd,
Ça est PUITS SENS
Jouant entre le Zéro et l’infini,
À CHARGE pour qui est UN TER pelé par ça
De le RE CO NAÎTRE,
Ou pas,
Avec les con séquences
Qui s’ensuivent,
Différentes dans l’un ou l’autre KÂ.
AH !

LE SOURIRE D’UN VIEIL ENFANT
De ça LU,
Joue en nos mémoires,
LE JE(U) du « fading ».

UN COUP, JE TE VOIS,
UN COUP, JE NŒUD TE VOIT PA.

Toujours IL EST LA,
L’inconnu RES HI D’EN
THE DEEP OF OUR SELF.

Et mon taf est DEUX :
LE FAIRE D’YS PARAÎTRE,
En les CŒURS qui s’offrent à LUI,
Faire disparaître SON ÉNERGIE
Des fourvoyés et courroucés divers
Qui, EN eux-mêmes,
Pratiquent le DÉNI de « ça »
Qui EST et REST(E)
SON DÉ NID. Hihihi.

Allez, oisillons du ça LU,
Ouvrez les YEUX
Et voyez la PA et MÂ
TER NID T.
De votre A. venir
Dans LE TAU
Des mémoires fluantes et vibrionnantes
Que j’ai reçues de LUI.

Venez jouer
En le KÂ RÉ
De sables des langages,
Où IL m’a posé le Q.,
Suzy. Hihihi.

Bonne PRO menade
En les sentiers
Que JE PARCOURS, par COURS,
À SON
UN VIT, invite,
À LUI.

À plus…

Bernard Issa Péran
bperan@hotmail.com

09-07-21.

Je souriais, hier,
En lisant le petit mémo journalistique,
D’un qualifié de « penseur de la complexité »,
Par ailleurs quasi centenaire souriant,
Porté, selon son déclaratif,
Plus par EROS (aire OS, hihihi)
Que par THANATOS ( L’ÉNERGIE de LA MORT)

Je souriais à l’extrême simplicité
Des thèses de ce professeur
De discours noyés dans SON SOURIRE,
Qu’ON peut résumer ainsi :
L’inextricable imbrication
De la puissance de la pensée humaine,
Et de l’impuissance d’humanité,
Non avouée,
Devant les mots et les maux re liés,
Générés à répétitions
Par son hybris de savoir pouvoir,
Et ses manipulations d’apprenti sorcier,
Les virus sociétaux sautillant toujours
Là où les puissants ne les attendent pas. Hihihi.

Edgar Morin : « Cette pensée humaine capable de créer les plus formidables machines
est incapable de créer la moindre libellule »
LeMonde. Tribune. Par Edgar Morin, sociologue et philosophe. 07-07-21.
Dans un texte écrit pour « Le Monde », le sociologue et philosophe revient sur le siècle écoulé,
durant lequel s’est accrue « de façon inouïe la puissance humaine,
en même temps que, de façon non moins inouïe, l’impuissance humaine ».

Je souriais de ce gus
Qui, rationnel jusqu’au bout
De son doigt d’écriture prolifique,
Fait appel solennel à ses potes de l’intelligentsia :
« nous avons besoin d’armer l’intelligence par la reconnaissance et le traitement du complexe,
nous avons besoin d’une connaissance et d’une pensée pertinentes, d’une ample prise de conscience,
de décisions conscientes et responsables, d’une stratégie toujours en mouvement. »

Je souriais davantage encore,
Quand, comme un cheveu sur la soupe d’intellect,
Il éjacule ceci, quasi à l’improviste :
« N’écartons pas enfin l’hypothèse d’un prophète ou visionnaire ou illuminé inattendu
annonçant la nouvelle religion planétaire et modifiant l’aventure humaine. »

Les lectures bibliothécaires
Dans lesquelles il a longtemps
Laissé farfouiller son groin,
Ont pourtant dû lui mettre quelque puce,
UN FORT MAT HIC,
À L’OR EYE, hihihi,
Et lui susurrer que les hommes-ça,
(Diversement qualifiés par leurs contemporains,
Puis « récupérés », hihihi,
Quand ça leur semblait « pertinent », AH !)
De tous les cultes UR, de toutes les cultures,
Étaient placés par L’ÉNERGIE VIT AL
En-deça et/ou au-delà
La Raison souveraine,
Cette puissante usurpatrice,
Qui apprend, à ses dépens,
L’impuissance à VIVRE
Générée par la velléité
De contrôler, maîtriser, dominer LE FLUX.

Ces gus là, les hommes-ça,
Vivent dans le « tremendum » et le « fascinans »,
Dont causait doctement
Le théologien Rudolf Otto,
Avant de se faire « adouber » par LUI,
Et devenir « vecteurs » de ça PUITS SENS.

Ce sont des cons sacrés, hihihi,
Des consacrés à « ça »
Qui s’est « emparé » de leurs personnes alitées
Dans les convenances transitoires
De leurs lieux et époques d’existences,
Les « arrachant » aux croûtes épistémiques
Pour les plonger
EN L’AUTRE MAN
EN L’AUTREMENT,
Qu’ils se mettent à servir,
Avec ART D’HEURE,
Avec une ardeur, plutôt cuisante,
Pour les gouvernorats des pensées croyances
Des situations qu’ils sont « âmes nées » à VIVRE.

Ce sont des faits divers,
Plus ou moins RE TAN TISSANT.
Ils marchent, femelles soumises à « ça » en eux,
Imperturbablement, impitoyablement,
Dés LIVRANT LA PAROLE
Qui a jailli DU CŒUR d’eux-mêmes.

Il leur arrive de secouer
Les « coercitions sémantiques »
Dont « ON », L’INCONNU,
Leur a montré que ça conduisait
À la catastrophe peut-être,
Du point de vue de l’intellect matamore,
Mais, et SÛR TOUT, surtout,
Aux strophes de là, KÂ TA,
Qui trace le CHE MAIN D’HUMAN IT.

Ce GRAND DOUBLE
De L’ÉNERGIE,
Cette invisible et impersonnelle,
Dans les lunettes d’intellect…
Cet UN, PÈRE SON ELLE,
Dans les lus NET
Que LE SUJET DU RÊVE en toi,
Te donne,
Dans l’élu NET, dans les lunettes
De VISION AUGMENTÉE, hihihi,
Que les récits de SON REGARD te donnent.

Ma pomme scrivaillonne sert « ça »,
Et scénarise d’être en JE FA SON,
d’étrange façon,
la coercition épistémique
des mondes de la moderne IT,
et LE RE FÛT UR
QUEUE, JE SUIS.

ON fait aujourd’hui
Cet arrêt sur image là,
Venue, sur crispation inattendue
Des serres de L’AIGLE YS
Posé sur ma tête, hihihi,
Diriger les pas
De mes spirales mémorielles.

LET US GO.

RÊVE 745. COERCITION ET REFUS. Brest. Bretagne. France. 25-04-18.

Je suis au cœur d’un groupe,
Dans une sorte de colonie de vacances,
Aux aspects pénitentiaires,
Car animée par des moniteurs,
Sportifs politiques de haut niveau,
Connivents exigeant de leurs troupes
Une cohésion de groupe sans faille.
Sur une forte pente, en montagne,
Ils demandent soudain aux enfants
Dont ils sont, selon leurs dires, responsables,
De sauter dans un ravin,
Dont ils ne perçoivent pas eux-mêmes le fond,
Perdu dans un brouillard épais.
Ils affirment haut et fort :
« Regardez, votre saut sera amorti
Par les branches d’arbre
Que vous voyez là. »
Plusieurs sautent,
Et on ne les voit plus.
Vient mon tour.
Je me campe debout,
Devant l’adjudant
Du groupe para militaire,
Et lui dit, d’une VOIX FORTE :
« Moi, je refuse d’aller là
Où tu veux nous amener,
Au suicide collectif. »
Je vais m’absenter
De ce terrible jeu de rôles
Auquel tu veux contraindre
Tout le monde. »
Je me fais traiter de lâche,
D’objecteur inconscient,
De déserteur des passions collectives,
Et menacer de mort,
« Car, dit-il, la règle d’empire
S’applique à tous sans exception,
Les morts collatérales sont prévues
Dans le cahier césarien
Des charges collectives,
Et les rebelles, flous ou pas,
Nous les exécutons. »
Je souris au sportif du pouvoir,
En murmurant à ses oreilles :
« Je suis déjà mort pour « ça » ».
Il ne sait pas, le petit soldat,
Que je suis BORD YS, VIE EN,
Boris Vian, note-t-il sur son carnet
De notes,
En entendant vaguement
Ma silencieuse méditation,
Et qu’à chaque fois
Qu’une civilisation s’auto-détruit,
Par bravades idéologiques,
Religieusement packagées,
Je suis le premier,
D’un coup d’aile,
À ÊTRE AU FOND DU TROU,
Et à soigner les êtres
Qui sortent de leurs corps morts.
L’adjudant reste ébahi de « ça »
Que je lui ai dit,
À l’intérieur de lui-même.
JE LUI tourne alors le DO,
Et poursuis, en souriant,
Mon chemin.

25-04-18.

J’ai souri à ce rêve-là,
Moi, le rétif, durant ma scolarité
Encadrée par de pieux loups,
À raconter des histoires
Qui semblaient réjouir le groupe,
Moi, l’objecteur d’UN conscience
De mes vingt ans
Aux entraînements militaires,
Moi, le pas passionné du tout, hihi,
Par les jeux de rôle collectifs
Des ambitions individuelles,
Traçant au MI LIEU de ça,
La trajectoire qui, d’une invisible MAIN,
Tissait, en petites touches
D’existentielles métaphores,
Le seul rôle que je sache jouer,
Le MI UN, le mien, hihi,
Ce LUI que j’assume au jour d’HUIS,
En méditation
De pleine CON SI ANSE,
Comme ne le disent pas
Les doctes de LA CHOSE
DU VIVANT.

Moi, naïf jusqu’au bout
Du doigt qui me pousse
À écrire « ça », hihi,
NA IF, oui,
Avec tréma, TRAITS MÂ, siouplait,
Sodium liquide
Transmettant en mots refroidis
Le Non Acceptable
Par les passions raisonnables
Et raisonnées par des entraîneurs
Idéologiques de haut niveau,
DU FEU NU, CLÉ AIRE
Du ça lu
Que, JE JEU D’YS TRIBU,
Je distribue,
Jouant, dans l’effroi parfois
Ce rôle-là,
Qui au fil des ans et des rêves,
A été concocté
Par QUI JE SUIS,
Déjà au FOND DU TROU,
Dans le pas encore
De ma présence YS HI
Dans cet HIC et NUNC
De mon opérant sillon,
Je souris.

Savez-vous que tréma
Vient du grec ancien τρῆμα, trễma
Signifiant : « trou » ?

Je suis L’IF, aussi, Ô SI,
Arbre des tempêtes
Symbolisées, hihi,
Par l’exercice contraint
Imposé par les adjudants
Des empires césariens,
Arbre de PARÔLE,
Aux multiples branches chroniquées,
Amortissant,
Autant que faire se peut,
La chute collective
Déjà engagée
IF, cet arbre conditionnel,
Anglais, en glaise de mes langages,
D’une PAROLE
Que vous intégrez à vous-mêmes,
Ou pas.

Je suis le tremendum,
Cette chose latine
Qui vous saisit,
À l’impro VIS T.,
À l’improviste,
Et qui COGNE
À vos portes de con prêt en SION,
De compréhension, hihi,
Jusqu’à ce que vous pigiez
« Ça » que « ça » est,
En NOÛS.

D’autres images
M’ont été données
Afin que je les donne,
À mon tour,
Pour illustrer « ça »
Qui se passe
Dans LeMonde
D’au JOUR D’HUIS.

RÊVE 365. L’ATTERRISSAGE DE LA MONTGOLFIÈRE.
Brest, Bretagne, France. 19-03-15.

Je suis le passager
D’une montgolfière
Dont le pilote semble vraiment
Avoir présumé de ses connaissances,
Et de sa capacité à maitriser
La machine qu’il conduit,
Car celle-ci, montée trop haut
Dans le ciel,
Se met soudain à descendre
En flèche.
Je monte sur le panier en osier,
Et, prenant les filins à pleine mains,
Je me balance,
Et impulse à la montgolfière,
Un mouvement rotatif
Qui la fait descendre en spirales,
Et ralentit la chute inévitable.
Arrivé au ras du sol,
L’engin effectue quelques rotations
Excessivement rapides,
Dans une prairie arborée,
Qui manquent de peu
De l’amener à se fracasser,
Contre un arbre,
Ou une maison de campagne,
Qui se trouvent là.
Un dernier coup de rein
De ma part,
Nous jette dans un grillage vert,
Qui ceinture l’enclos
D’un troupeau de canards noirs.
Le choc est amorti.
L’him mobilisation est violente,
Mais pas mortelle.
J’en sors indemne.
Le pilote, lui, est immédiatement entouré
De tous les canards,
Dont l’un, lui plante, son bec jaune,
En plein cœur.
Tous les autres canards
Viennent s’agglutiner à mes pieds,
Comme pour me les embrasser,
En un mouvement collectif
De gratitude,
Qui me surprend.
À ma gauche,
Apparait une Pierre cubique,
Vivante,
Dont je sais qu’elle est
À la fois,
Mon ami de toujours,
Et le Premier m’aï-On (maillon)
De l’Église Universelle
Que j’ai bâti.

J’ai commenté « ça »,
Et d’autres séquences oniriques,
Quand m’a été donnée,
PROGRESS HIVE MAN,
La faculté, hihihi,
De le faire.

Je suis l’enfant qui vient
En chaire,
En chair et en os, hihi,
Perturber un peu
Le serment que font
Les doctes professeurs laïco-religieux
À la déesse RAISON,
Cette idole polymorphe
Qui usurpe le nom de dieu,
Quand ça l’arrange,
N’hésitant pas
À calligraphier l’inconnu
Sur son drapeau noir de terreur,
Ou, de façon similaire,
Sur les billets verts
De ses comptes en banque.

RÊVE 498. L’UNIVERSITAIRE ET L’ENFANT. Brest. Bretagne. France. 15-02-16.

D’abord invisible,
Regard flottant en l’air,
Surplombant la scène
Je suis derrière le dos
D’un prédicateur universitaire,
Faisant son cours,
Dans un grand amphithéâtre,
Devant une foule d’étudiants.
Il est debout,
Chemisé et cravaté de frais,
Sérieux comme un pape,
Mais le cul nu,
Caché des spectateurs,
Par son pupitre.
Il est en train de prêter serment
Devant la déesse Raison,
L’index droit pointé en l’air,
Et s’enfonçant l’index gauche
Dans… le fondement.
À ce moment,
Je sais qu’il a deviné ma présence,
Et regarde l’enfant de sept ans
Que je suis devenu instantanément,
Visible cette fois,
Et contemplant (Con, Temple, En), moqueur, la scène,
De derrière le pupitre aussi.
Il est furieux, le professeur,
Et, s’accroupissant,
Il me plaque sa main puissante
Sur le visage,
Veut me mettre son doigt merdeux
Dans la bouche.
Dans un mouvement réflexe de défense,
Je secoue violemment la tête,
Ce qui lui coupe la langue,
Qu’il avait bien pendue,
À cet instant-là.
Souriant,
Naïf jusqu’au bout des doigts,
Je me confonds en excuses,
Ayant du mal tout de même
À m’empêcher de pouffer de rire.

Je sais, je sais, je sais,
Pour la plupart,
LE RÊVE, E.T., SON SUJET,
« Ça » ne vaut pas un pet de lapin
Face aux algorithmes
Des intelligences artificielles,
Chargées de tisser le cocon
Des humaines machines
Corporalo-mentales
Et d’apaiser les sociétales convulsions.

Le rêve est raclure de bidet,
Pour beaucoup,
Déchet psychique
Qu’on évacue
Par et dans le cul
De basse fosse
Des psychés.

Le rêve est matière fécale,
Objet d’études interprétatives,
Comme le sont les étrons
Moulés plus classiquement.

Le rêve est parfois perçu,
Comme un « exhausteur » de conscience,
Par des philosophes
Qui s’en parfument un peu les narines,
Le derrière des oreilles,
Ce qui ne les empêchent pas,
Ensuite, hihi,
De continuer à transpirer
Du concept philosophique,
Sous les aisselles,
Et de livrer leurs odeurs historiques
À ces jeunesses, putain,
Qui ne lisent pas suffisamment,
Et prétendent, les incultes,
Se couler dans LA VIE,
D’EN LE VIVANT, quoi,
Sans Platon ni Plotin.

Moi, bwanas de la pensée croyance,
Pontifes laïcs et religieux des cultes UR,
Moi n’être que le petit noir
D’UN RÊVE GRAND,
Majeur, pour tout dire,
Comme ce doigt qui frappe fort
Sur mon clavier,
Et crée des résonnances
À vos ors Eyes
De l’intérieur.

Moi y en a être, hihi,
Un objecteur,
Soumis
LIBRE MAN,
Au SUJET DU RÊVE
Qui me met en scène
D’être EN JE FA SON.

Moi y en a être
Un emmerdeur,
Un empêcheur de se tuer,
À petits ou à grands feux,
Dans les hystéries guerrières et martiales
Que les adjudants de César
Préparent,
En ordonnant des sauts
Sportifs, nationaux, et
Soi-disant salutaires,
En des discours militaires
Dont ils ne voient pas
Le fond du TROU.

Moi risque la cour martiale
Et LA MORT pour « ÇA ».
Rassurez-vous, hihi,
« Ça » a déjà été fait,
Imagé par un homme-ça,
Au cœur des histoires juives
De mon con BÂT.

Je campe debout,
En littéraire
De mon combat.

Je suis le nègre du « ça »,
Me dézippant la peau,
Sous votre regard d’ego,
Rêve ailant LA CHAIR DEUX,
MA PAROLE,
Noire et blanche,
Noire ou blanche,
Selon, CE L’ON,
L’orientation de votre REGARD,
À l’extérieur
Ou à l’intérieur
De vous-mêmes.

LE RÊVE
Vous dit toujours
Où vous en êtes,
Face à qui je suis,
INSIDE HOUR SELF.

LE RÊVE est LE VERBE
Que vous ne conjuguez pas,
Ou peu, ou plus.
LE RÊVE est LE MOT IMAGE
Que vous ne déclinez pas,
Ou plus, ou peu.

Vois là LE SUJET
De toute mon onirique littérature,
Vous répète à l’envi,
AL EN VIE, AL EN VIT,
Bernard René Issa,
Opérant SOL ITER
Des glissements
Du SEXE DE MA PAROLE
En LA MÉMOIRE
DE QUI NOÛS HÔM,
Appelés AU DEUX VENIR
Vous hurlez à la folie de mon REGARD
Sur les mots, les choses, et les sorts, DU MONDE.
J’en termine avec « ça »
Que martèle LE RÊVE de QUI JE SUIS.

RÊVE 539. LA ROUE : LE MOI YEUX, ET LES REY IONS.
Brest. Bretagne. France. 03-05-16.

Je me vois
Comme le moyeu
D’une Roue aux infinitudes
De rayons.
Je suis Regard Phare,
Se promenant lentement
Sur la circonférence,
Éclairant successivement
Tous les rayons de la Roue
De l’Histoire des mondes.
Soudain, alors que « moi »
N’y est pour rien,
Ça prend de la vitesse,
Pas « moi » qui ne change pas
La fréquence de SON balayage,
Mais la Roue
Qui se met à tourner
À une vitesse d’accélération
Impressionnante.
Je sens le VENT me souffler
Aux oreilles,
Me faisant trembler.
Je me dis même,
Que si je bouge d’un poil
De ma position Centre AL,
Je serai balayé,
Comme ces êtres que mon regard éclaire,
Le long des rayons,
Victimes des forces centrifuges,
Allant se fracasser sur les parois
D’une étrange circonférence extérieure,
Sorte de jante infernale,
Hérissée de clous.
Mais je vois aussi
Des multitudes de petits poissons,
Attirés par la lumière de mon Regard
Dans la Nuit,
Se faufiler le long des rayons,
Remonter les courants forts,
Et entrer en les yeux de ce « moi »
KI, parlant de QUI JE SUIS,
VIT en LUI.

BORD YS, VIE EN, JE SUIS. Boris Vian, à ma FA SON.

09-07-21.

La rédaction de cette chronique
A été UN TER rompu de DITS VIE D’END,
Interrompue par un petit message,
Amical, ÂME MI QU’AL métamorphe OSE…

Je me suis EN PRESSÉ d’y RÉ PONDRE

Vois SI EN l’anecdote.

« bon matin du 9 juillet 2021 Bernard,
Je me lève ce matin avec 1 nom qui est là dans mon esprit : James Coburn !!
Bizarre non ?
Serait-ce que le message voudrait dire : Jacques avec le feu ?
Aller, je vais à Noz avec Nadine la Fée...
amitié l'ami »

et, le répons de mon kan a diskan breton :

« Bonjour frère Jacques,

J’interromps une seconde
La rédaction de ma chronique
Pour te répondre.

YES, Brother JAMES,
You start BURNING with HIM.

Tu brûles,
Comme disent les enfants qui jouent
À COL UN, M. AÏ ART,
À colin-maillard. Hihihi.

NA DYN te promène
EN CORE de toi-même
Dans LA NUIT,
Espérant que tu viendras au FEST NOZ
Où QUI JE SUIS t’attend.

Tâte TAN,
Mon âme MI. Hihihi.

C’est MÂ J’HIC, une fée,
Is not IT ?

Here is « ça »
Que te dit le mage hic celte
Qui, toujours,
Ta compagne,
T’accompagne.

À plus, frange UN.

James Coburn est un acteur de SI né MÂ,
N’est-il pas ? hihihi.

Témoignes de ça en toi,
Et joue le PA rôle
Qui se filigrane,
En ta pomme secouée…

See you. »

Ça FAIT
Un contrepoint léger, hihihi,
Aux pas lourds de PUITS SENS
Que JE viens de « dégager »,
En mes mémoires répétitives,
Enfin, aussi répétitives
Que les mémos
Des simples pensées complexes. Hihihi.

Ça lu AIDE,
GARE à toi,
Le MORT UN
Te salue,
D’un SOURIRE à quoi
Tu ne t’attendais peut-être pas,
Cher Edgar Morin.
Les e-mules que tu portes, les émules que tu fabriques,
au soir de ton AIX YS STANCE transitoire,
ont peut-être besoin
de se faire RÂ PI, E.T. SAIT, rapiécer, hihihi,
ID EST
Autant « mettre en pièces, déchiqueter »
Que « mettre en la pièce où ça
Les habille D’UNE AUTRE perspective,
Celle que LE SUJET DU RÊVE
M’a composé en LIVRET onirique,
Plutôt terrible, is not IT ?
ID EST
Terrifiant et merveilleux à la fois.
I, AÏ aïe AÏ, Bernard René Issa, SMILE to you, SMILE INSIDE US.

bonne lecture, Edgar, bonne PRO menade en les petits cailloux blancs d'écriture que je sème en enfant loup relativement âgé, hihihi, dans la jungle des SIGNES HIFI EN la moderne IT.
si "ça" aiguise et embrase ton mental foyer, fais moi quelque signe d'épistolaire fumée, vieil indien !
à plus, maybe. may you be a BEE of ÉTHER NID T. ...

Auteur: Bernard Issa Péran

Lettre pour Edgar Morin. Lettre 40.

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