Lettre pour Élise Lucet

Lettre ouverte de Marie-Blanche à Élise Lucet
“Des procédures criminelles ”

jeudi 23 janvier 2020,

Bonjour Élise Lucet,
Bonjour madame, je vous écris, car je suis désespérée,j'ai peur la journee, peur la nuit, nous sommes en grave danger mes enfants et moi, depuis 2000, nous sommes sous leurs emprises, les travailleurs sociaux, conseil général, educateurs, associations, administrations, caisse d'allocation familiales, sécurité sociale, les avocats, juges des enfants, agents de police je vis seule, je suis seule, avec mes enfants, se sont tous reunient ensemble, à Besançon, contre moi, sur des faux temoignages, fausses accusations, des faux, des preuves fabriquées, toutes sortes d'escroqueries, des histoires inventees, sans jamais m'avoir vu et rencontre, ni mes enfants, par vengeance, haine gratuite, des reglements de compte personnel, pour me détruire, détruire notre vies, ils se sont rendus partout, ont mis en place une situation absolument grotesque et rocambolesque, un scénario digne d'un film d'horreur, un complot, que de la manipulation, ont entamés contre moi, toute sorte de procédures, j'ai eu la brigade des mœurs et mineurs, la pjj, contrôle judiciaire, mesure eamo une enquêtrice sociale qui m'as fais une rapport favorable, me traque comme une criminelle, ne me lache pas, me laisse pas tranquille, me pousse Volontairement à me suicider, ils se taisent tous. j'ai eu des guet-apens, une spirale infernal, on dénonce mes demarches, ils m'exerce la pression morale, de l'intimidation, de l'acharnement, persécution, harcèlement moral, m'agresse, me hurle dessus, m'attaque, me casse, me rabaisse, m'humilie, me rie au nez, en réseau, je suis sans cesse convoquée au tribunal pour enfants, tribunal d'instance, ils ont mis à l'échec tout nos projets, professionnels, familles, s'en sont prient aux enfants, gravitent autour de nous, nous nuisent sans cesse, lorsque on veut nous aider, ils s'empressent d'intervenir je n'entend plus parlé de rien, ont faient le vide autour de nous, me controle, m'isole, ont vite tout archivé au tribunal pour enfants de besancon, tribunal d'instance, nous ont radié sur le fichier national de la sécurité sociale, m'ont bloqué partout, jusqu'à Paris, j'ai sollicite de l'aide auprès
France 3 besancon, l'est républicain besançon, ils ne nous sont venues en aide, mes courriers, mes appels, mes mails, ni les directeurs, responsables, chefs de services, magistrats hierarchiques ne sont au courant, j'ai écris au ministère de la justice, conseil superieur de la magistrature paris, l'IGPN, France victimes, cour europeen de justice, violette justice, ligue de défense noire africaine, tribunal d'instance besancon à l'attention de monsieur le procureur de la république besancon, à l'attention de monsieur le président du tribunal d'instance besancon, des appels incessantes provenant de leurs téléphones portables, des insultes, railleries, menaces, des courriers, lorsque un service s'arrête c'est un autre qui reprend le relais, j'ai eu une dizaine d'hospitalisation, j'ai eu un mal fou pour que les agents de police de besancon commissariat de la gare d'eau acceptent mes plaintes, une partie, qui sont classees de suite sans m'avertir, me promène, me mène en bateau, depuis 2013, me dise que c'est en enquete, ou c'est en instruction auprès du procureur de la république, or c'est faux. deux des agents de police, la bac, ont dient devant moi à notre porte, pour faire un truc comme ça on ne pourra pas le faire, il y a trop de vis à vis. Mes enfants depuis qu'ils sont mineurs, font des gardes à vue, les agents de police les frappent, en réunion, des coups et blessures, suivi d'hospitalisations, leurs dressent des proces verbals portant de fausses accusations, suivi de convocation au tribunal pour enfants, par les agents cela dure depuis 2013, les derniers faits date du 20-12-2019, le 20-01- 2020, m'ont mis à dos tout le monde, il y a eu plusieurs avocats, ils ne sont jamais intervenus, lors des audiences les pièces jointes à nos avocats ne sont jamais apparus. m'empêche d'assister aux audiences , nous servons à remplir les dossiers d'ajs, faire fonctionner notre protection juridique, se retourne contre nous, me font passer pour folle, je n'ai pas d' antécédent psychologique, ils voulaient me faire enfermer de force, je ne pose et crée des ennuis à personne, on m'apprecie, je m'entend avec tout, je ne suis pas connue de services de police, mais en tant que plaignante, j'étais victime de d'agression, violence en réunion, en présence des témoins, lors de l'audience, l'agent de police voulait prendre mes empruntes, une photo pour me créer une fiche d'identification, le 02-10-2019, nous etions convoqués au tribunal pour enfants de besancon, j'etais malade, comme souvent, j'avais prévenu, très tôt le matin, il y avait devant notre porte extérieur, un agent de police, madame la juge était entrain de faire un mandat d'amener pour mon dernier âge de 17 ans, récemment il voulaient mettre un bracelet électronique à mon fils, il est le deuxième, de la fratrie de 4 enfants, petit, il était à la limite de l 'autisme, il est suiveur, ont commis en réunion des délits, ils étaient 10 enfants, ils ont tout mis sur le dos à mon fils, l' ont incarsere une fois 6 mois, la deuxième fois 1 an ferme.les agents de police on dient aux auteurs de mes agressions que j'étais ultra connue de leurs services, qu'ils avaient un gros dossiers à me concernant, or c'est faux,ils se protegent tous les uns les autres, protegent les auteurs des faits, les laissent continuer, j'ai plusieurs témoins. Des qu'ils entendent notre nom de famille, ne peuvent pas s'empêcher de nous nuire. Une de leurs collègues m'as dis que le racisme anti blanc ça existe, car lorsque elle était jeune, a été victime de harcelement moral par des filles antillaises ou martiniquaises. ont bloqués les revenus pendant deux, m'endette volontairement, s'empressent de faire des signalements d'enfants en dangers, des informations préoccupantes, sur des faux, ont encore entamés des procédures, le 31 octobre 2017 nous ont jettes à la rue de notre logement avec des enfants mineurs, m' ont bloqués le jour même avec des enfants mineurs, au 115, auprès
de tout les bailleurs sociaux. Ils ont voulus nous faire disparaître, veulent nous tuer.n'ont pas de compation, ni conscience, à ce jour c'est le grand silence, je n'ai eu aucun répondant. Je n'invente pas cette histoire.

Auteur: Marie-Blanche