Lettre pour Élise Lucet

Lettre ouverte de Eric MICOREK à Élise Lucet
“Psychiatrie comme moyen de repression policière”

jeudi 28 juin 2018,

Bonjour Élise Lucet,
Je détiens la preuve qu'en 2008 j'ai été l'objet d'une mise en asile psychiatrique par le comissriat rue Emile ROUX à Chalon sur Saône en Saône et Loire
dans le centre de Sevrey en HDT alors que je venais de porter plainte contre le directeur de l'école privé Le devoir de Chalon sur Saône.
Suite à du harcelement de ma femme, je n'ai pas pu porter plainte contre elle car un capitaine de police n'a pas voulu prendre ma plainte.
Il y eu donc par l'absence de gestion de cette problématique, une violence de ma part sur ma compagne avec 3 gifles qui m'ont conduit en revanche elles en asile.
C'était un coup monté de toute pièce par le commissariat de police de Chalon sur Saône.
En 2016, j'ai été de nouveau mis en asile psychiatrique en HDT au val dracy de Dracy le fort par l'hopital de chalon sur Saône et par monsieur Gilles Platret, maire de Chalon sur Saône.
J'ai été mis en psychiatrie en HDT à l'hôpital Sainte Anne à Paris suite à mon souhait de porter plainte au comissariat de l'élysée afin de dénoncer l'impossibilité de porter plainte à Chalon sur Saône
pour racisme à 7 reprises dans l'entreprise DEMOISY et CTS DEMOISY à Beaune et l'impossibilté d'avoir un rendez-vous avec Monsieur Gilles PLATRET, Maire de chalon sur Saône
pour évoquer ce sujet grave d'impossibilité d'être défendue par la république française.
J'ai été sodomisé à l'hôpital Sainte Anne de Paris dans la nuit à deux reprises sans pouvoir me défendre.
J'ai écrit au procureur de la république de Paris qui m'a manifesté son soutien et une enquête devait avoir lieu 4 mois plus tard seulement.
Le centre de Sevrey par l'intermédiaire du docteur DIMITRU a fait pression sur moi pour que je ne donne pas suite à mon dépôt de plainte.
J'ai du prévenir le procureur de la République de chalon sur Saône qui n'a pas réagit.
J'ai alors prévenu le ministre de la justice , toujours pas de réponse;
J'ai alors prévenu le conseil d'état qui m'a envoyé un courrier me disant de voir avec la gendarmerie, la police ou le procureur de la république française.
Etant donc dans une impasse, j'ai prévenu l'armée de la base pétrolière de Chalon sur Saône de mon impossibilité d'être défendu, ce a quoi on m'a répondu de voir avec Monsieur Gilles Platret.
Vous comprenez bien que ne pouvant être défendu par la république, il existe un article de la constitution qui dit clairement que la république n'existe plus.
Il me faut porté à votre connaissance le fait que suite à une manipulation de mon ex-compagne, mon fils de 17 ans m'a envoyé en psychiatrie à l'hôpital de Chalon sur Saône
sans que je puisse être défendu par un avocat.
La police est venu en force à mon domicile m'obliger à prendre mon médicament alors que j'avais convenu avec mon psychiatre de l'arrêter.
J'ai vécu l'enfer car ma femme, n'hésitant plus à appeler la police pour m'envoyer en psychiatrie, j'ai du élire domicile à Martigny le comte dans la maison de ma mère qui m'éberge gracieusement
dans l'attente de jours meilleurs.
Dans le même temps et par un hasard troublant, la société générale de Chalon sur Saône m'a mis en interdit bancaire à deux reprises m'obligeant à m'exiler à la campagne pour pouvoir
continué de vivre décemment.
Le crédit mutuel ou j'avais un compte courant, m'a aussi sans explication rationnelle expulsé et radié mon compte courant.
Tous mes dires si dessus ont fait l'objet d'une traçabilité par courrier en recommandé par accusé de réception.
J'ai d'ailleurs subit des vols de document médicaux que j'avais méticuleusement essayé de protéger.
J'ai donc porté plainte à la gendarmerie de Perrecy les Forges et la réponse obtenue demeure sans suite.
Le gendarme chargé de mon affaire m'a demandé de ne plus l'appelé sinon il préviendrai le procureur de la république de Chalon sur Saône.
Je n'ai personne pour me défendre car ayant porté plainte pour vol au domicile familiale, la famille, mes enfants m'ont laissé tombé.
Après avoir du solliciter l'association de Coluche à Charolles pour pouvoir manger, j'ai été hospitalisé deux fois à Paray le Monial pour épuisement.
Je détiens toutes les preuves écrites de mes affirmations ci-dessus, y compris lorsque j'ai contacté la cour d'appel de dijon pour pouvoir sortir de la clinique du val Dracy.
Voilà, je me tiens naturellement à votre disposition pour évoquer plus en détail ce dossier qui et la preuve flagrante que la police utilise la psychiatrie comme moyen de répression.
ou j'ai été manipulé et oppressé sans commune mesure.
Dans l'attente, je vous prie d'agréer, Madame Elise LUCET, l'expression de mes cordiales salutations distinguées.
Un humble papa qui a énormément souffert du monde psychiatrique qui est resté un monde très archaïque et piloté par des médecins à l'esprit psycho-rigide
et à qui la justice française délivre une confiance dont il est temps de dénoncer les atrocités qui s'y passent pour le bien être de l'humanité toute entière.
Eric MICOREK

Auteur: Eric MICOREK

Lettre pour Élise Lucet. Lettre 3007.

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