Lettre pour Élise Lucet

Lettre ouverte de NACER AMAMRA à Élise Lucet
“Scandale universal music hallyday plagiat”

jeudi 19 avril 2018,

Bonjour Élise Lucet,

Vous trouverez ci-dessous un communiqué de presse concernant l'affaire David Hallyday - Nacer Amamra.

Site de l'affaire des plagiats : http://hallydayplagiat.com/
Site des documents juridiques : http://documentsjuridiques.eu/

En 1987, à 17 ans, pour atténuer sa peine, tenter d’exorciser l’immense chagrin du départ inopiné de son papa, le jeune chanteur Nacer AMAMRA écrit un texte dans sa chambre comme on écrit une lettre d’adieu à un être cher qu’on ne reverra jamais plus et il compose une musique à la guitare pour accompagner ce texte, pour exprimer les sentiments qui le submergeaient à cette période et en même temps, il veut rendre hommage à celui qui lui avait donné la vie, ce père qui venait de s’éteindre sans que leur amour n’ait eu le temps de se dire avec des mots.

Cette chanson s’intitule alors pudiquement « 87 » et est homologuée auprès de la SACEM sous ce titre en 1994.

Dix ans plus tard, sur le conseil de son ami M. Patrick MILLET professeur au conservatoire de Lyon, Nacer retouche quelques paroles, change le titre de son morceau et le nomme « Tu nous laisses » (première phrase de son refrain).

Depuis les années 2000 Nacer AMAMRA connu dans sa région (Rhône - Alpes) sous le nom de Kevin ACE est un artiste indépendant auteur, compositeur, interprète.Il a produit 5 albums et tous ses morceaux sont enregistrés officiellement à la SACEM.

En 1999 le plagiat (la contrefaçon) de la chanson « Tu nous laisses » fît un énorme tube (1,5 M de ventes de disques) sous la forme du morceau connu « Tu ne m’as pas laissé le temps » et ce succès lança définitivement la carrière du fils de Johnny en France, le très célèbre chanteur David HALLYDAY.

Durant l’année 2012, l’artiste Nacer AMAMRA toujours en activité, avait engagé par le biais de son avocat, des négociations en toute discrétion avec Mme Caroline MOLKO (PDG depuis 2002 de la société WARNER CHAPPELL MUSIC), l’éditrice actuelle de David HALLYDAY, ex-directrice artistique des HALLYDAY (1988-2002) chez UNIVERSAL qui cumule aussi le rôle de Présidente de l’association des Victoires de la Musique depuis sa création, mais il y a eu aussi des échanges avec la maison de disques UNIVERSAL MUSIC FRANCE par le biais de son PDG Pascal NÈGRE (1998-2016) - voir les documents juridiques officiels sur le site : documentsjuridiques.eu.

Mais après plusieurs mois de réponses évasives et contradictoires, constatant la très mauvaise foi de ses interlocuteurs, M. AMAMRA fît alors une demande d’expertise judiciaire en juin 2013 afin de lever tous les doutes auprès du public, mais surtout pour déterminer sans parti pris, le bien-fondé de son accusation de contrefaçon de sa chanson « Tu nous laisses » transformée en 1999 par « Tu ne m’as pas laissé le temps » afin de partir sur des bases juridiques indiscutables pour engager et légitimer un procès contre le chanteur David HALLYDAY et tous les protagonistes de cette affaire qui ont encouragé, permis et facilité la contrefaçon.

En septembre 2013, la demande de M. AMAMRA de faire intervenir un expert mandaté par la justice a été rejetée par la juge, non pas parce qu’il n’y avait pas « d’éléments solides », de « matière » pour établir un plagiat (comme la laissé croire M. HALLYDAY au public en octobre 2013 dans un communiqué de presse adressé à l’AFP), mais surtout parce que le demandeur (Nacer AMAMRA) dispose de suffisamment d’éléments pour pouvoir en débattre dans le cadre d’un procès classique sans passer par l’intermédiaire d’un expert judiciaire.

La magistrate a effectivement estimé que l’analyse comparative des deux titres produite par M. AMAMRA, rédigée par un éminent professeur en littérature comparée M. MATTIUSSI pour le texte et l’expertise musicale extrêmement détaillée des deux chansons « Tu nous laisses » et « Tu ne m’as pas laissé le temps » rendue par Mme PANSANEL — GARRIC professeure enseignante à l’université Lyon 2 en musicologie étaient des justificatifs très largement convaincants pour plaider directement l’affaire de contrefaçon devant le tribunal compétent.

Malgré cette très explicite décision pour toute personne avertie du langage et des termes juridiques, M. HALLYDAY a sauté sur cette occasion pour exploiter une tournure de phrase particulière à la justice pour réutiliser le terme « débouté » (rejeté) et créer ainsi une confusion auprès du grand

public en publiant une fausse annonce ou « fake news » qui célébrait sa fausse victoire alors que le procès n’avait pas encore débuté.

Cette grossière manipulation de l’information a été bien évidemment relayée à très grande échelle avec le soutien inconditionnel de la presse « people » et a permis au célèbre chanteur de « bloquer », faire retirer le Wikipédia officiel de Nacer AMAMRA pour s’en sortir au final la tête haute et gagner un temps précieux avant sa disgrâce conséquemment à sa future condamnation…

A contrario, le plaignant lui a été humilié par la presse, sali et traîné dans la boue...

Encouragé à utiliser cette grossière stratégie de la calomnie et la désinformation, certainement dictée par ses proches (qui ont beaucoup de métier en la matière), M. HALLYDAY enchaîne dans

« l’intox » et « l’enfumage » et en décembre 2015, engage une procédure en diffamation contre l’artiste lyonnais Nacer AMAMRA.

L’objectif d’attaquer en diffamation un inconnu du grand public avait pour objectif, bien évidemment de faire retirer le site hallydayplagiat.com où les plus irréfutables preuves illustrées par les meilleurs justificatifs sont apportées pour mettre en évidence la contrefaçon de la chanson

« Tu nous laisses » du musicien Nacer AMAMRA enregistrée et homologuée officiellement en 1994 auprès de la SACEM.

Débouté une première fois en 2016 de sa procédure en référé, M. HALLYDAY s’acharne alors et réitère à deux reprises d’autres démarches judiciaires du même acabit contre l’artiste plagié.

Il voudrait encore aujourd’hui, continuer à essayer de lui faire peur en laissant planer la lourde menace de poursuites judiciaires systématiques à chaque information ajoutée au site en question (voir l’assignation de ses avocats).

En plus de vouloir décourager Nacer AMAMRA de continuer ses investigations sur son affaire et par extension, sur toute l’industrie musicale en France, M. SMET dit HALLYDAY pensait pouvoir dissimuler toutes ses autres contrefaçons (une deuxième contrefaçon du texte de « tu nous laisses » a été découverte en 2014) avec cet « écran de fumée » juridique en espérant détourner les débats et faire condamner le plus rapidement possible (avant la tenue du procès en contrefaçon le 9 janvier 2018) M. AMAMRA pour ainsi influencer le juge chargé de rendre prochainement sa décision concernant le plagiat du titre « Tu ne m’as pas laissé le temps ».

En obtenant une sanction contre cet artiste, David HALLYDAY aurait pu encore et pouvait toujours faire « bonne figure » devant sa famille, ses admirateurs, les journalistes et l’opinion publique.

Aujourd’hui, les 3 victoires de Nacer AMAMRA concernant la diffamation (sous différentes formes) sont totales et définitives.

Vous trouverez sur le lien ci-dessous, tous les documents officiels juridiques concernant ce dossier de diffamation qui est clôturé maintenant : documentsjuridiques.eu

Concernant la décision de la contrefaçon de la chanson « TU NE M’AS PAS LAISSE LE TEMPS » qui a lancé la carrière de David HALLYDAY, une décision est attendue dans les prochaines semaines.

Auteur: NACER AMAMRA

Lettre pour Élise Lucet. Lettre 2773.

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Termes ayant menés à cette lettre ouverte
patrick millet musicien conservatoire de lyon ~ patrick millet acteur

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