Lettre pour Élise Lucet

Lettre ouverte de Michèle BOUCHEZ à Élise Lucet
“Famille menacée par le CDAS”

vendredi 2 décembre 2016,

Bonjour Élise Lucet,
J'ai fait du mal à ma fille et mon petit-fils en écrivant à la Ministre de l'éducation nationale, cela s'est retourné contre eux.
Aujourd'hui l'action sociale de la ville de Brest menace de mettre une protection sur mon petit-fils contre ma fille, car elle serait trop fusionnelle et cela serait mettrait en danger mon petit-fils.
La réalité est tout autre, cela a commencé avec une mise à l'écart des enseignants et le harcèlement d'élèves à l'école Saint Vincent, mais cela avait commencé dans une autre école et cela les a poursuivi. Elle a pu le mettre un mois à l'abri dans la seule école Freinet de la ville, le Directeur a constaté que mon petit-fils avait beaucoup souffert et qu'il faisait parti d'une liste interminable d'enfants en souffrance scolaire, qu'il faudrait plusieurs écoles FREINET pour répondre à toutes les demandes des familles dans son cas. Ma ffille était une proie facile, une femme seule,séparée du papa d'Elouan, au chômage avec une vie compliquée car elle était en reconversion professionnelle. Ils étaient des proies faciles et le plus important mon petit-fils est métis. Etant Brestoise, je peux dire que le racisme est très présent à Brest malgré ce que l'on dit et cela depuis toujours. Enfant j'entendais les insultes sur ma cousine métis qui venait en vacances l'été, c'était des enfants qui la traitait de "sale noire", cela ma beaucoup choquée et marquée. Je sais que cela n'a pas changé, car j'ai une belle-soeur raciste.
L'école a voulu dirigé mon petit-fils en classe de segpa alors qu'il n'a jamais redoublé, que même l'inspectrice d'académie a reconnu un abus et désinscrit mon petit-fils de cette classe pour la 6ème. Un dossier a été monté par le directeur et les enseignants de l'école après mon courrier à la Ministre, une enquête a été menée par les assistantes sociales, sans contacter les proches et amis excepté le papa qu'elles ont essayé de monter contre ma fille, cela n'a pas marché car le papa sait comment ma fille aime son fils et fait tout pour lui.
Nous pensions qu'il n'y avait plus de raison de s'inquiéter, mais ma fille a tout de même été prévoyante et l'avocate qui avait déjà défendu Elouan après son agression demandée par un élève de sa classe lorsqu'il était dans une autre école (cette école a tranmis des informations négatives à la nouvelle école et a empêché une bonne intégration voire initiée tous les problèmes qui sont survenues), avait déjà été prévenue et prête à intervenir. Mais nous ne savons pas si cela suffira, car cette institution est en dehors de toutes attaques et a tous les pouvoirs, de nombreux abus ont déjà été constatés. C'est une machine à broyer les familles aimantes car il ne faut pas être fusionnel, mais qu'est ce donc fusionnel, où est la limite de l'amour entre une mère et son enfant, c'est ce que l'on souhaite lorsque l'on a un enfant ; l'aimer.
Il y a tant de femmes et d'enfants qui souffrent et qui meurent sous les coups qu'il faut aller détruire une famille aimante.
Je sais qu'il y a une journaliste qui a déjà traité de ce sujet.
Serait-il possible d'entrer en contact avec elle et de lui raconter cette histoire, d'avoir du soutien, car d'autres enfants sont en train de vivre la même chose dans l'école et vont être dirigés en classe de SEGPA avec le doute du racisme, car mon petit-fils est métis et un autre enfant est visé, qui lui aussi est métis.
Ce sont des adultes orgueilleux de l'école qui veulent se venger et qui n'ont rien trouver de mieux que le service de l'action sociale. L'assistante sociale et l'éducatrice de CAS connaissent les enseignants et le directeur de l'école Saint Vincent. Nous ne sommes à l'abri de rien, des vies peuvent être brisées sous dénonciations calomnieuses, et la machine à broyer se met en route et broye.
L'assistante sociale MME THEBAUT a utilisé le nom de M. Frédéric CHAPALAIN du Conseil Général du Finistère auprès de la MDPH pour signer le courrier, courrier qui est arrivé hier (le 1er décembre 2016) à ma fille sans être en recommandé.
je vous demande votre aide et votre soutien pour sauver ma fille Sandra BOUCHEZ et mon petit-fils Elouan KAKOU.

Vous êtes la journaliste à faire des émissions fortes et qui ne triche pas. Je crois en vous. Michèle BOUCHEZ


Auteur: Michèle BOUCHEZ

Lettre pour Élise Lucet. Lettre 1136.

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