Lettre pour Franz-Olivier Giesbert

Lettre ouverte de Philippe Acquisto à Franz-Olivier Giesbert
“Pour ceux qui ne sont pas à la hauteur de la mémoi”

mercredi 1 février 2017,

Bonjour Franz-Olivier Giesbert,

M Franz-Olivier Giesbert et M . Christophe Ondelatte

J’ai eu l’occasion d’assister furtivement à vos interventions respectives dans l’émission de Thierry Ardison intitulée « Salut Les Terriens », le samedi 28 janvier 2017 vers 19 h 15 :

Bien m’en avait pris ; car j’en apprends tous les jours sur vos consciences et vos regards respectifs ; de la même manière dont j’ai fini par découvrir ce que nos politiques nous cachent ou ce qu’ils nous ont caché depuis des décennies.

Comme les politiques, Messieurs, vous nous prenez vraiment pour des cons en disant que nous allions oublier le comportement délictueux de Fillon. On voit aujourd’hui le résultat de vos supputations journalistiques à deux balles... Dans les choux l’enflure ! Et c’est vraiment normal car ce n’est nullement une affaire d’avis, et surtout pas du vôtre ! C’est une affaire de Justice ! Nous, nous ne faisons pas entrer l'accusé mais nous le faisons d'abord sortir de la course à la présidentielle ! Par tous les moyens démocratiques pétitions, police, justice …!

Moi je n’ai toujours pas oublié nombre d’affaires et je pourrais même vous faire un historique des dégâts engendrés ; lesquels a priori n’ont fait que vous en toucher une sans bouger l’autre. J’ai toujours pensé que les Français avaient de quoi être déroutés avec des commentateurs comme vous. (vos alter ego judith Waintraub – geoffroy lejeune – etc… n’apporte rien mais alors rien !)

Un peu à la manière de Mme Poloni que j’ai vue osciller entre le zig et le zag dans ces débuts (exactement comme Frantz) pour finalement essayer de se poser (avec encore plus d’hypocrisie ou d’ambition que Frantz) en tant qu’intellectuelle « libre penseuse ».

Même subjectives, toutes les comparaisons que je suis en train de faire, me sont permises car j’ai suivi Monsieur Frantz depuis une cinquantaine d’années et je me souviens de sa mauvaise foi et de ce qu’il disait quand il était en train de faire son trou dans le métier ; ensuite, bien bien après il a un peu changé, sentant l’usure ou quelque chose d’autre approcher…

Ce court moment du 28 janvier fut un moment affreux pour moi et surtout décevant au regard de la soi-disant grande sensibilité dont Christophe se dit être habité.

Avec mes salutations.

Auteur: Philippe Acquisto

Lettre pour Franz-Olivier Giesbert. Lettre 75.

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