Lettre pour Franz-Olivier Giesbert

Lettre ouverte de patrick CHARRIEZ à Franz-Olivier Giesbert
“Projet de publication de texte : postverbes”

lundi 20 mai 2019,

Bonjour Franz-Olivier Giesbert,

Je me permets de vous écrire car j'ai vraiment savouré votre dictionnaire d'anti-citations.

Ingénieur, puis enseignant et me consacrant énormément à l'écriture, j'ai notamment rédigé un écrit complètement original et différent de mes précédents : ce que j’appelle des "Postverbes" - qui est déposée à la Société des Gens de Lettres -, où je m’amuse à revisiter environ trois cent proverbes, dans une finalité parfois purement humoristique, mais aussi très souvent poétique et de réflexion.
Si ces écrits attiraient par bonheur votre attention, peut-être pourriez-vous m'aider à contacter des maisons d'éditions idoines, et éventuellement me recommander et me soutenir?
Me tenant à votre entière disposition, notamment pour vous envoyer la version complète déjà très élaborée ( si vous acceptiez de me communiquer une adresse #### ),
Bien cordialement,
Patrick Charriez

QUELQUES POSTVERBES

Au possible, nul n’est contenu.

A père avare, fils banquier.

A tout seigneur, tout horreur.

Aussitôt ri, aussitôt en paix.

Beaucoup de silence pour tout.

Bon sang ne saurait jaillir.

C’est au pied du mur qu’on voit le peloton.

Ce n’est pas à un vieux sage qu’on apprend à taire des grimaces.

Aime-toi, le ciel t’aimera.

 Loin des yeux, près du cœur.

 Il n’y a que la vérité qui ne cesse.

 L’avenir appartient à ceux qui rêvent tôt.

 La vengeance est un plat qui sème l’effroi.

 L’amour rend clairvoyant.

 L’amour du crapaud séduit même la blanche colombe.

Auteur: patrick CHARRIEZ

Lettre pour Franz-Olivier Giesbert. Lettre 131.

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